Le sentier sillonne entre des arbres, franchit le ruisseau de pierre en pierre, traverse les retranchements de quelques animaux sauvages… Et finalement, après quelques heures, quelques jours, quelques années de marche, on atteint le refuge. Notre forêt intérieure et celle qui nous entoure ne font plus qu’une.
Ainsi est sa forêt : dissimulée derrière quelques arbres, elle se nourrit sans cesse d’oiseaux et de plantes à la diversité inattendue, elle multiplie les sons et les odeurs, mais aussi et surtout, elle offre une cabane à notre part d’imaginaire.